122 i runF. sen r.r. imai.fc.tf heiwikre des za i w et ait sr.oucoo
II)/? rend notre pronom relalif « qui, que », sujet ou comple-ment, dans tous les cas ou il n’y a pas a rendre 1'idee speciale d’affirmation « c’est, cesont... qui,quc... ».
Ex. : mnij mes nlia: u ikkan siu V Quel est l’homrne <jui est passe
par ici
izil uis ii iureil, le cheval que tu as achete est bon.
Comme ai, n est invariable :
initui iijlan ii Izenzril, ou sont les champs que tu as vendus?
En debors de <ii reserve pour une tournure particuliere, // est la formę la plus sirnple du pronom relalif; c’est le tbeme qui a servi a former les pronoms relatifs singulier de la serie suivante. On le relrouve en Zaouaoua : Hanoleau, Porsics pojuilaires dr la h'< i byli <■ du Djnrdjiini, p. 4 :
« rśsinouć n Hin Ulan ! Et les ebaouchs qui la gardaient! » avec en renvoi : « en pour runi, pronom relalif, lesquels ». On le retrouve chez les Bem Mguild, Icbqern, Ait Shaq, etc., sous la formę na :
Ichq. i 1'is na hallem, le cbeval (jue vous avez derobe.
111) Pronoms relatifs derives de n.
Comme les pronoms demonstratifs, ces pronoms prelixent :
1° Les affixes du nombre:
a, alTaibli en?' au feminin, disparu au masculin. pour le singu* lier.
?' pour le pluriel.
2° Les affixes du genre :
w pour le masculin ; t pour le feminin.
Tableau.
Masculin Feminin
Sing. : un, celui qui, que; len, celle qui, que.
Plur. : mis, ceux qui, que; lis, celles qui, que.
Par comparaison avec le singulier, on peut admettre que le theme pluriel est s; toutefois on ne rencontre pas c?‘ tbeme employe isolement comme n. Ces formes wis et lis, sont bien par-ticulieres aux Zaian et Ait Sgougou : on ne les releve en ellet dans aucun des dialectes voisins.
Par suitę de ieur formation. ces pronoms se trouvent renfermer