P REM IKRĘ PARTIE. — 125 GRAMMAIRE
Ies neologismes, nous dirions qu’elle csl le signe de 1’ « intransi-livite ».
Nous venons de voir plus haut son emploi avec les pronoms
relatifs derives des preposilions. Pareillement ////' se joint a niet a n :
Ex. : 1° Avec ni. kiin nimi miii- « ciulu Y nijerm wiek », c’est toi
a qui j'ai dit de prendre gardę. ni In i nimi rln rdler clfhis, c'esteux a qui je pre-terai de 1’argent.
2° Avec n : ikka <1 riji altu: ii mi jem'ci- as eniu.il, l’homme avec
lequel je m’etais rencontre liier est passe pres de moi.
nliuli ii mi i-erser, le belier que j’ai egorge (rers, egorger, est intransitif).
3° //(/semploie egalementavec les pronoms relatifs derives de//:
mi mi iklab lebbi śa Yawi /. celui pour qui Dieu a decide quelque chose 1’emporte.
mani wis mi unii• ud iiYęn ? Ou sont ceux a qui j’avais dit de monter a cheval ?
4n Avec les pronoms interrogatifs (voir ci dessous).
134. — PRONOMS INTERROGATIFS
Les pronoms interrogatifs sont de veritables pronoms relatifs fjui attirent comme ces derniers les termes mobiles et exigent comme eux que le verbe dont ils sont sujets soit mis au participe.
Ce sont :
135. — I. mu.
mu correspond a notre pronom interrogatif « qui, que? » et se rencontre le plus souvent termine par un i epenthetique (v. Pho-netique, n° 104) :
inni I Yu jnn ? Qui Pa vue? mui ifjitl? Qu’as-tu fait? mui llum ? Que desirez-vous ?
mu suflixe parfois//// : mami nlidil? Que vivrions-nous?
On le rencontre parfois sous les trois formes suivantes :
1° maili, correspondant de aid, voir n° 130 et de luuid, voir plus bas :