12G i;n de srn le malkcte heimuche des zaian et aYt sgoegou
nmiil nlenbail, is <t ignji ulami? Que deciderons-nous? Le chrelien remontc la vallee.
2° mi, qui n’esl qu’une alteration de inni'. Celte formę se releve dans les dcux expressions'suivantes :
a) mi Han 1 2 mol a mol « qui possede? » (cf. Masqueray, (Jbsrrra-lions grumiimlirales sur trs Tui log, page 25).
Z. mi iląn aisa? Qui possede ce cheval? A qui esl ce cheval? mi len iląn? Qui les possede? A qui sont-ils? mi kem iląn ? m. a m. qui le possede? en s’adressanl a une femme, c’est-a-dire qui l’a prise en mariage, quel esl lon upoux?
b) mi ii mi, parfois mi m mi el li n mi, parfois li iii mi. Dans cetle expression mi pronoin est place en rapporl d’annexion avec les
/ y
pronoms demonstratifs mi el li (v. sni>ra, n°- 126;. mi n mi et li ii mi, s’emploienl pour demander u qui apparlienl ce dont on parle, el, d’une faęon generale, pour avoir un complement d’informa-tions, une precision sur ce donl il est queslion :
ininiul iilj uis, un chcval est mort; mi ii mi? m. a m. « celui de qui? » c’est-a-dire « a qui appartienl-il? Quel est-il? » mi. n 'anml, celui de Ameur.
V v
iimcl is n rlhnt, il a epouse une jeune filie; li ii mi? m. a m. i< celle de qui? » Laquelle ? i His n eśśih, la lilie du Cheikh.
Cette formę mi est plus frequenle chez les Ait Sgougou el sur-tout ohez les Zemmour :
Ze. is illa miij esseiin nil inijer? Y a t-il quelqu’un qui sache mois-sonner?
Le meme dialecte des Zemmour opere une pareille transforma-tion dans les formules optalives :
Ze. a mig3 ufan anml Oh ! si je pouvais trouver mon frere!
Signalons encore comme exemple de pareil changement :
Z, inniil; A. Said, miii.
y
Ex. : A Sai'd, miii iląn tannah, i qui est celle-ci ?
Kt <iu'il nc faul pas corifmulrc avcc mi, parlicule ćtiulióo au n° 133«
I)mles, ma Han?
li l’our : a irag ufan...