I 150 ETUDE SUIl LE DIALECTE HERBEJIE DES ZA1AN ET AlT SGOUOOU
rerser, j’ai egorge ; nr ars, nous avons egorge.
Irersed, tu as egorge; Irerscm, vous avez egorge (masc.). ircrs, il a egorge; trrrsęnn, vous avez egorge (fem.).
lrers, elle a egorge; rersęn, ils ont egorge.
rersenn, elles ont egorge.
Tels sont ; qers, etre dechire; relf, petrir; qdf, etre transi de froid.
Verbes dont les deux premieres radicales sont identiques.
Ces verbes de la formę c XXc X, ne subissent aucune modillca-tion dans la composition de leurs syllabes.
Tels sont : rjfcr, sortir; cllom, filer la laine.
dkf, repudier; cllcl, demander.
YeRBES DONT LES DEUX DERNIERES RADICALES SONT IDENTIQUES.
Ces verbes de la formę A' e XX, prennent un i avant les suffiies
V
des deuxiemes et troisiemes personnes du pluriel : bcdd, se tenir debout, se lever, par exemple, se conjuguera comme suit ;
brddcr, je me suis leve;
Vv
Ibrddrd, tu t’es leve;
V
i bcdd, il s’est leve;
V V
Ibedd, elle s’est levee;
nbcdd, nous nous sommes leves.
vv
tbeddim, vous vous etes leves.
V v
Ibeddinn, vous vous etes levees.
V
bcddin. ils se sont leves.
V
bcddinn, elles se sont levćes.
Cette voyelle i est encore suffixee par quelques verbes apparte-nant a diverses categories :
kcmmlin, ils finirent:
SS w / 7
qimin, ils sont restes;
{/lin, ils lancerent.
Verbes commencant par /■ ou /.
Ces verbes, de la formę c Ii XeX, ou e ł XeX, ne subissent aucune modification ; notons que le <: precedant r ou / est souvent a peine perceptible.
Tels sont : crznn, relUcher ; crdcl preler; ćl(/d, fermer.