ETUDE SI R LE DIALKCTE BERBERE DES ZA1AN
ET Ai r SOOUGOU
1° Toujours, apres ma :
Suppression de ał: nl iufi imaj lei/ij, il ne sut que faire; mai tsiial as ennat? Que cliassais-tu hier?
Suppression de la ou ra : mai htmzeił j afus ranek? Que tiens-tu dans ta main? uł rili afjłimen mas nleddu </ muskał, je n’ai pas d’ailes pour franchir la plaine.
Voir d’ailleurs ci-dessus.
1° Assez souvent, quand la formę d’habitude est misę au parti-cipe :
ał : ar klin imahzan ain aj Iherrafen ii/ennuzen, les Imahzan' ne se rappellent pas les lieux ou ils faisaient passer l’au-tomne aux veaux.
ra : iqim ił umdahnl ennes, an as izrddmrn, au as ilagmęn. il demeura avec son compagnon, celui qui lui ramassait le bois et lui puisait l'eau.
La parlicule ra est dans ce cas toujours supprimee quand le sujet du verbe est le pronom relatif a i :
aliaz a, sa n sulih ai l id i ta zenu, cet homme, c’est un saint qui l’envoie.
3° ał se supprime le plus souvent quand la formę d’habitude est precedee immediatement du verbe di, etre, rendant alors notre imparfait de 1’indicatif.
a ma llih linii• ma k iserlun a muznn ? Je me disais : « Ou’est-
w w w
ce donc qui vous a fait rencherir, ó paillettes d’argent? »
4° La suppression des partieules de la formę d’habitude est fre-quente en poesie, surtout dans les chants empruntes aux Beni Mguild. ra et la :
kem asmi teniudduh k tizza hłanin, c’est toi avec qui je me promene sur les collines desertes. manii/ tuliłem, a imkerręfen if-ial? Ou vivez-vous, ó vous qui attachez les anes?
V V v V
słabes as d ikkat; uł id a'śali as tekkatem imahzan, c’est avec
une troupe reguliere qu’il combat; ce n’est pas avec le fusil Winchester que vous combattez les Imahzan.
ał : — ain urezzur, uJUj t, ce que je cherchais, je l’ai trouve.
1. Familie de Moim ou llammou.