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PREMIKRE PARTIE. GRAMMAIRE 183

Employe au commencement d’un recit, iii, conjugue au preterit, transporte 1’aclion dans le passe et se rend lui-meme par l’impar-fait de l’indicatif :

Ulu idj ułiuz, il etait un homme.

Ulu ugellid. il y avait un prince.

193. — De la particule il.

La particule il s’emploie dans divers cas avec le sens de « c’est, ce sont ».

1° Elle s’emploie seule, comrne attributive. Ex. :

il kiin ? Est-cetoi? Corarae interrogation, ou en signe de doute ou de protestation.

n:irur U winem, m. a m. « la honte est vótre » la honte est votre partage.

ulu il aiiaz ennes, c’etait son mari.

<l śa <) errnui uiilnii ijmu', c’est quelqu'un parmi les chasseurs avec qui il s’est rencontre.

nil n i er il umhuzni, je prendrai du service comme mokhazni.

igu i uinani U ugellid, il fit comme s’il etait roi.

w

2° Son emploi est obligatoire apres la conjonction is, est-ce que?

is [U kiin ug ennun uwal u ? Est-ce toi qui as prononce ces paroles ?

Yuf en is I tiuimal ęnnesutj emmuim, il vit que c’etait sa genisse qui ótait crevee.

3° il entre dans la composition des expressions suivantes :

mul iii, si c’etait; muł iii neli, ur tegijer akcs, si c’etait moi, je n’agirais pas ainsi.

muł id i, si ce n’etait; muł iii is, si ce n’etait que.

uhui ił uham ma, muł id i literri'! Quelle belle tente, si ce n’ćtait cette breche!

uhui il uis aia muł id is t inra uiluł l Quel cheval, si ce n'etait que le pied le fait souffrir!

ul id, ce n’est pas; uł id is, ce n’est pas que.

ul id utai, ce n est pas elle.

elląn middęn iu igęm, ul iii is licssin, les gens sont nombreur, ce n’est pas qu’ils manquent.