250 ET U DE SUK LE 1)1.4 LECTE BEKI? EHE DES Z Al AM ET Alf SGOIGOC
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2° Comparatif d’egalite. — II se rend par urn, comme, suivi des noms ou pronoms sujets, ou, qQand il s’agit de ąuantite, par nurki, de la taille de, suivie des noms ou des pronoms affixes des noms:
ifssęn iamazihl ani nok, il sait le berbere autant que moi. filiąn rirs umili anrkl inn, il a autant de moutons que moi. gir ameducj am kiin, je suis aussi pauvre que toi.
Avec les adjectifs, le verbe e<7,etre, peut etre supprime quand il
w .
s'agit du present :
’assu amezzian anekt inn, Assou est aussi petit que moi.
3° Comparatif de superiorite. — II se rend par le verbe ou 1’adjectif suivis des prepositions seg ou sehf, cette derniere pour
sfifj hfif:
nujulch se<j moha, je suis plus grand que Moha. iasafi a hnezzi sehfiąn hu I, ce chene est plus petit que celui-la. igu i' nnzizzg umas, il est plus intelligent que son frere. Ifissęntlzigi iainazihi, tu sais mieux que moi le berbere.
Re.marque. — Pour les objets pouvant etre denombres, on emploie rnnag kii (rnnag preposition, au-dessus, et an pronom relatif, comparer ci dessus, nldau an) :
rllgn rirk ilrhnan rnnag nn rili Ulan, tu as plus de chąmeau.K que je n'en ai.
Citons encore les expressions suivanles :
Ula rili ugal nn rirk Ulan, j’en ai plus que toi.
Ula iilłus un rirk Ulan sg an rili Ulan, tu en as moins que moi. isscn kilnji Ikaul inn, il sait 1’arabe mieux quemoi.
Cette expression bzu iii, d’origine arabe, est assez employee.
265. — II. Superlatif.
1° Superlatif relatif. — II se rend par l’adverbe ou 1’adjectif suivis de g :
nla ag cssęnn Uignrr izlun, c’est lui qui sait des chants mieux que nous tous.
nla ag gai i akrmral g nil m'i, c'est lui qui e9t le plus grand personnage des Alt Mdi.