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grands traits des impacts de la mobilite, sans pour autant y voir un impact majeur et commun a tous.

Le choix de faire une etude comparative a Fetranger nous a obligć a avoir effectuć une seule rencontre avec les etudiants. Nous aurions aime pouvoir rencontrer une seconde fois tous les participants, pour ćvaluer si le temps, par exemple, pouvait avoir fait changer lcur perception et leur vision de Fexperience. L’espace temps fixć pour realiser ce memoire ne nous Faura pas permis.

Nous aurions pu opter pour une analyse de la mobilite chez les etudiants d’un seul pays vers diverses destinations; ou encore pour une comparaison entre ceux qui ont voyage et ceux qui ne Font pas fait. Notre memoire presente une vision nordiste d’une experience precise de mobilitć ćtudiante. Est-ce que les deux visages ont vraiment ete montres? Qu’aurait ete ce memoire si un chercheur du sud Favait mene? Ces" 'queśtions restent en suspens, prelude vers d’autres memoires, d’autres recherches...

Si, pour nous, le voyage en Argentine n’a pas ete aussi marquant que pour de nombreux ćtudiants, une chanson nous trotte tout de meme en tete. Elle nous servira de conclusion sur ce chapitre de notre vie...

« Vuelvo dl Sur/como se vuelve siempre al amor/vuelvo a vos/con mi deseo, eon mi temor.//Llevo el Sur/como un destino del corazón/soy del Sur/como los aires del bando neon. //Sue no el Sur/inmensa luna, cielo al reves/busco el Sur/el tiempo abierto, y su despues.//Quiero al Sur/su buena genie, su dignidad/siento el Sur/como tu cuerpo en la intimidad.//Te ąuiero Sur/Sur, te ąuiero. »

Astor Piazzola