LES IECTEURS
Out n’a pas. su cours da sa vte. au moins une fois du Atre branchA A une machina? Que ce soit l'investisseur qut refuse d'al-longer son -oseille- st les orga nismes gouvernementaux no s*impltquent pas dans son projet qu« le fara vtvre longtemps et tui assurera une retraite «bien mAntAe- b mime les deniers des contnbuables... Ou encore 1'acci-dentA du travsil qut plamfie «sos accidcnts- dans les moments ou son employour a le plus besoin de kii... Ou bien le travailleur qui ga-gne uniquement ce qu‘tl lut faut pouf vivre au crochet du chóma-ge une longue pAnode... Et enftn rhomme qui considAre ses proches (hommes. femmos et en-fantsl comme des ptAces d'Aqui pemont A sa si compliquAe machi ne.
Nous ne savons plus depuis belle lurette dAtecter et aller chor chor les bailleurs de (onds qui dorment en nous et qut s'appei lent courage, dAtermination. au dece. gout du nsque et sutres cri-tAres nAcessaues et mdispen sables A la rAussite de sa vie. On se protAge de tout. on trouve des boucs Amissaires partout Si|e rA ussis. ce n‘est grAce qu’A moi. Si l'Achoue. |'ai prAvu le coup: c'est la faute au chdmage qui ne voit pas A son affaire; A la commisston des accidents de travail qui no se comprend plus; au gouyernement qui ne fait que nous mettre les bA tons dans les roues....
Pendant ce temps. nos amis et nos votsins nous votent changer A vue d’oe«l. ne comprenant pas ce qui se passe, ne sachant ce que nous sommes devenus. Nous ne sentons plus les autres. ils de viennent des piAces d'Aquipement A notre compltquAe machtne et. qui. peu A peu. devient un mons tre Amettant des sons bizarres. opArant d’uno faęon offrAnAe. et ne sachant plus ou elle va Tout A coup. tout Aclate et on nous bran che...
Pouf nous. le vAritable enfer commence. On dApend de queł que*un ou de quelque chose et on ne le prend pas. On se retrouve face A face avec soimAme et 1'image que nous voyons est 1’image que nous avons projetAe sur les sutres quand nous nous croytons les plus forta et les plus intelligents
Nous dApendons maintenant d'une machinę qui nous dit quoi faire quand et ou le faire Nous devenons pnsonniers du monstre que nous avons crAA et cnttquA. Et encore, nous voulons qu'tl nous sauve. Triste ironie C*est la lol du -boomerang- II rev«nt
toujours au potni de dApart On n‘a młme plus le pouvotr de le lancer nous mAmes. Le systAme a pris le contrdle
les sentiments de tolArance et de compassion que nous avons refusAs aux autres nous font trAs. mais trAs mai quand ils viennent de ceux que nous avons bafouAs Notre orgueił en prend tout un coup. On voudrait se voir mort. On veut Atre dAbranchA mais la machinę que nous avons crAAe Ipour les autres) n'obAit plus A nos commendes. II faut refaire le chemm A l*envers et on n'en a plus les moyens. On demande A coux qui nous aimont, qui veulont nous votr vivre. de nous Aliminer. C’est la seule et umque chose qu'ils refusent de faire. Ils font appel A d autres (boucs Amissaires) pour faire le travail A leur place. Ces dermers s abntent der-nAre des pnncipes. une morale sociale. pour ne pas bouger et at-tendre que le temps fasse son oeuvre. Ce serait terrible de dA-brancher et de constater que la vie continue quand mima Ce serait aussi terrible st la vie cessait epr As le dAbranchoment Tous les AlAments sont IA pour prendre une dAosion sanchonnAe et approu-vAe par -Nancy B- et ses proches. C'est trop clair pour Atre simple On cherche A qui on vo passer la patate chaude. Pendant ce temps. les -branchAs- atten-dent. attendent. attendent...
Peut-Atre. ayons-nous perdu le tour d'analyser et de rAflAchir en •ncorporant les valeurs profondes que sont: les sontiments. le coeur, la raison et le spintuel Au jourd'hui. tout doit Atre catalo-guA. AtiquetA et bien casA sanon on s'y perd. Nous sommes des spAcialistes en tout et en mima temps des gAnAralistes en rien. Comment faire. dans ce cas. pour faire des synthAses de diffArentes facettes do la vie, si nous ne som mes que des spAcialistes
Nancy B. a eu plus que le temps de faire sa synthAse et sa conclusion lui appartient. Elle en a marre des spAcialistes qui n’Acou tent que leur technique. leur stAtoscope et leur machinę.
Donnons lui ce qu'elle veut, sans douleur. en douceur et A Theure qui lui conyiendra. La per-sonne la plus importante et la plus concernAe, c'est elle. S’il y a dAsapprobation, ęa ne yiendra pas d'elle mais de tous ceux qui n'ont pas su se mettre A sa place.
Faisons une expAnence: as-soyons-nous. sans bouger. pen dani doux heures et. ensuite. ti rons nos conckisions
RomAo Mongeon. Granby
UOUVEAU A GRANBY!
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La pAnode des FAtes est un moment exceptionnel de fraterni-tA humamel
C’est Coccasion pnyilAgiAe de resserrer nos liens et d'expnmer notre amour A celles et ceux qui nous sont chers. et aussi de tA-moigner notre amitiA et notre at-tachement A nos emis
Dans la plus pure tradition de nos racmes quAbAco«ses. la sai-son des FAtes en est une de rA-lomssances on familie et d’heu reuses retrouvaiNes.
Mais. c'est Agalemont un
temps de rAflexion profonde sur nos yaleurs essent»elles. Souve nons nous que le partage et la gA nArositA enyors nos concitoyen-nes et concitoyens AprouvAs ou dAfavonsAs comptent parmi les plus importontes yaleurs dans notre sociAtA.
Aussi. je vous offre A toutes et A tous mes meilleurs voeux pour un trAs Joyeux NoAl. et je formule le souhait que la Nouyelle AnnAc vous comble de SantA. de Paix et do Bonheurt
Jean Lapierre. dApulA
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1992
123AN
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