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328 femes J. Scientifigues du Rćseau Biotechnologies Yćgetales AUPELF.UREF, Orsay, juillet 1997

par le PEG tandis qu’en prćsence de NaCl, la croissance des cals de Cando (sensible a la salinite) est la plus faible. La teneur en eau des cals est plus fortement reduite par le stress osmotique que par le stress salin, nćanmoins ce parametre est affecte de la meme maniere chez les trois varietes. Un test de viabilite base sur la reduction des sels de tetrazolium en formazan a mis en evidence le meilleur comportement des cellules des cals de Belikh (resistante a la salinite), que ce soit en presence d'un stress osmotique ou d'un stress salin. Une analyse minerale par spectrophotometrie de flamme en emission est actuellement en cours. Son but est de definir dans quelle mesure les deux stress affectent la teneur des cals en cations, essentiellement en Na+ et en K\ Les resultats seront presentes.

Cli : Biotechnologie et protection integree a 1’egard des virus d’une culture seche mediterraneenne :

le Pois chichę

AZMEH M.F.1, MAKKOUK K.2, KAWAS II.'

'Faculte d’Agronomie, Universite de Damas, B.P. 3062L DAMAS. 2ICARDA, B.P. 5466. Alep SYRIE.

Parmi les lćgumineuses alimentaires, le Pois chichę (Cicer arietinum L.) occupe une place tres importante dans les regions s’etendant de la Mediterranee a Linde. Si le probleme pathologique majeur de cette culture reste LAnthracnose cause par Ascochyta rabiei, elle est attaquee aussi par une trentaine de virus differents causant des dommages variables.

Notre etude a permis d’etablir pour la Syrie, Linventaire des virus du Pois chichę dont celui qui provoque le syndrome de rabougrissement (Chickpea Stunt). II s’agit du virus de la jaunisse de la betterave (BWYV, Luteovirus). Le taux cPinfection revele par ELISA atteint son maximum dans la vallee du Ghab (36 %). Le virus de la mosai’que de la luzerne est egalement repandu.

En plus, la presence du virus de la jaunisse necrotique de la feve (FbNYV) a ete confirmee sur le Pois chichę. Les deux premiers virus ont ete purifies et les anti-sera correspondant obtenus. Ils ont permis un taux de detection experimentale eleve dans les plantes et les insectes vecteurs.

L’epidćmiologie de la souche locale du BWYV a ete ćtudiee. La pathogenicite testee sur 23 especes vegetales appartenant a 6 familles a montre un large spectre de plantes-hótes comprenant 13 legumineuses cultivees et sauvages, exhibant des symptómes de jaunisse plus ou moins marques. Cinq hótes etaient asymptomatiques. Les insectes vecteurs du meme virus ont ete identifles. Dans des essais d’inoculation contrólee, les pucerons les plus efficaces ont ete : Myzus persicae, Acryrthosiphon pisum et Aphis craccivora. Nous avons prouve en outre, que les principaux virus concemćs ne sont pas transmis par la semence du Pois chichę, malgró les symptómes ćventue!s sur celle-ci. Par contrę, plusieurs mauvaises herbes accompagnant la culture peuvent constituer un reservoir du virus ou/et heberger des insectes vecteurs. La resistance au BWYV de 254 genotypes comprenant 8 especes sauvages de Cicer a ćtć testee. Soixante-huit accessions ont pu etre selectionnees pour leur tolerance et mises a disposition du programme d’ame!ioration varietale.



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