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Jalouaie tle Saai.
Quand le roi fSaiil et David reyyireni apres eette victoire, les feimnes de toufes les villes d’Israel allerent au de-vant d’eux, en eliaiitant et en dansant, temoignant leur rejouissance avee des tambours et des timbales. Dans lenrs cliansons elles se repetaient les unes aux autres: „Satil en a tne rnille, tandis que David en a tne dis rnille.” Ces paroles mirent Satil dans une grandę colere. „Elles ont donnę, dit-il, la preferenee a David; ne lui donnera-t-on pas atissi la dignite royale?” Le lende-main de son arrieee dans sa maison, 1’esprit malin se saisit de Satil, de maniere qn’il etaif agite comme un bomme qui a perdu la raison. David, comme de con-tume, jouait de la liarpe deyant lui; et Satil ayant la lance a la rnain, la poussa contrę David, dans le des-sein de le percer d’outre en outre; mais David se detour-na, et evita le coup a deus fois. t Satil comrnenęa des lors a 1’apprelieiider; et pour 1’eioigner de sa personne, il lui donna le commandement de rnille hommes. David se couduisait dans toutes ses actions avee tant de pru-dence que tout Israel et tout Juda laimaient et le res-pectaient, et de roi, craignant de plus en plus son influence, ne liii tint pas promesse, et donna sa ‘Sile ainee Merobt“ii mariageaun autre. Or la jeuneMicliol, seconde filie de Sani, avait de ralfection pour David, ce qui ayant ete rapporte a Satil, il en eut une joie malicieuse: „Je donnerai, se dit-il, celle-ri a David, afn qu’elle soit la cause de sa perte.” II ordoima pour cela ;i ses serviteurs de dire a Dayid, comme d’eiix-mćmes, que comme le roi avait de la bomie yolonte pour lui, il pour-rait aisement deyenir son gendre. Les serviteurs de
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