de raetres, dćbrayer ou ce qui est plus correct, decompresser tr£s legere-ment et amener le levier de la position i a la position 2 en marquant un leger temps d’arret au point mort pour laisser le nioteur ralentir.
Repeter la meine manoeuvre pour amener le levier a la position 5 cor-respondant a la grandę vitesse.
Pour revenir d’une vitesse superieure a une vitesse infćrieurc se servir uniquement du debrayage. Cette općration qui doit se faire assez vive-meut se decompose aiusi :
u) dćbrayage.
b) deplacement du levier au point mort.
c) embrayage rapide.
d) debrayage.
t) misę en place du levier dans le cran choisi.
f) embrayage progressif.
Apr£s un peu de pratique, ces mauceuvres qui paraitront impossiblcs a realiser au debutant sansgrincemeut d’engrenages ou a-coups brutaux, lui deviendront tout-a-lait tamilieres.
EN MARCHE. — Ke jamais se servir du leve-soupape pour modificr Pallure de la machinę.
Ne pas hćsitcr A prendre une vitesse superieure lorque le moteur ralentit inalgre l’ouverture de Tadmissiou des gaz. Cesi un iudice delatigue.
A mesure que la vitesse du moteur decroit, fermer la manette d’avance a Pallumage pour eviter le cognement et reduire les gaz.
Ne pas abuser de la marche a pleins gaz sur une gra
Yerificr frequcmmci.it le dćbii d’huile £$ Wrę <r lun autre le moteur par un lćger exces d’huil.£ pour s^issurer que le s^lfectue bien.
Pour arreter, fermer les gaz et decómpresser ou encore fermer les gaz, męttre lę teviei de vitesse au point mort le plus voisin et serrer si besoiu esr les freins. >
POUR DESCENDRE UNE COTE* — En regle generale on doit descen-dre une cóte a Paliure A laquellc la moto la gravirait dans le sens inverse. Le moteur peut etre utilise comme frein en ayant soin de decompresser pour ćviter les remontees d’huile ou ce qui est prefćrable de maintenir lćgćrement ouverts les gaz. Si la pente est tres accentuće, prendre la 2° et nieme la irc* vitesse.
Ne pas utiliser le dćbrayage.
Se servir alternativement du frein a main et du frein au pied pour eviter leur echaufłenient.
On peut ćgalement descendre les longues cótes en « roue librę », cłest-A-dire le levier des vitesses au point mort et moteur arrćte.
Arrivć au bas de la cóte il est indispensable de reniettre en marche au kick le moteur, avant de dćplacer le levier des yitesses.
REGLAGE DE LA CARBURATION. - a) Le gicleur est trop fort et il y a exces d^ssence (mćlange trop rlche) si pour obtenir une bomie marche on est obligć dłouvrir la manette d’air a fond.
b) I* gicleur est trop faible et il y a excćs d’air (mćlange trop pauvre) si pour obtenir une marche satisfaisante on est oblige de maintenir ferniće la manette d’air ou s’il se produit des crachements au carburateur.
Le rćglage se fait rapidement en changeant de gicleur. S’il s*agit de carburateur comportant une aiguille conique lixee au moyen d*une vis au centrę du boisseau des gaz, ne pas toucher au gicleur mais dćplacer de quelques millimetres 1’aiguille pour faire varier la section de passage cTessence.
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