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pour differents outils numeriąues d’une part et permet non seulement Facces a Finformation, la reservation en ligne, mais encore Finteraction et Fechange entre les visiteurs et Fhótel d’autre part. Quant a 1 ótel Sheraton de Saigon, comme il s’occupe principalement de la communication locale, il met en place sur son site Web proprietaire un calendrier detaille des evenements culinaires accompagnes des offres et promotions speciales pour le marche local. D’ailleurs, pour etre plus accueillant aux yeux des abitants locaux, il developpera une version vietnamienne du site Web pour bien servir ce segment de marche.
Cependant, les resi ats des entrevues relevent que tous les sites Web de ąuatre hótels ne sont pas crćes de faęon optimale pour la navigation des visiteurs. Ce qui explique pourquoi le site Web des hótels Palm Garden et Sunrise Nha Trang ne permet pas un acces rapide ni une navigation fluide : le telechargement du site et des photos prend du temps (voir les tableaux de synthese 4.1 et 4.2). Selon le responsable du marketing et de la communication, ce can. de communication a ete conęu avec Fancien ingage de programmation ou Fancien codę source. Ce demier n’est pas parfaitement compatible avec la conception du site Web de nos jours. II confirme egalement Fabsence des versions poui : telephone mobile et la tablette, ce qui a ete aborde dans la partie sur Fanalyse des sites Web. D’ailleurs, ce probleme s’explique en partie par le manque de budget: la icstion de retour des investissemcnts est importante pour le patron ou les actionnaires de Fhótel.
Les hótels sont differents des DMOs, des DMCs : les principaux produits des hótels concement Fhebergement, la rcstauration et d'autres services complćmentaires tandis que ces etablissements touristiques proposent des tours complets. De faęon generale,
le site Web de ces organisations est mieux finance que celui des hótels et elles portent
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plus d’attention sur les medias sociaux. A titre d’exemple, en tenant compte du potentiel du Web social, 77% des DMOs americaines accordent plus de budgets aux medias sociaux qu’a la television (P< >quin, 2009, p. 4). En outre, leur base des