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ans ont *t* s*lection-miere list* pour le ibraires 2000.decer-s: Ui ćmcis d'un Je cafł, df Y. Beau-V Fallots); Stradella. ssant (Gallimard). wnieś Ju ciel. df ier (Robert Laffont); f E. Fottorino atse a Dieu. df fr (France Empire); eu.de M.Gaiier (Le seule femme. de jallimard): Le jar-•. de I. Jarry • rizieres et de plute, (Phebus); Loffran-de J.-P.Milovanoff *taton eiait malade. le -Rena ud (Actes d'Aiguebrune, de ■ert Laffont); Cne ie Y.Rfza (Albin s causes perdues, df (Gallimard); Happy ind-mirę, de (Annę Carriłre);

F. Tai llandier chaine s*łection le e.

n H&M.le distri-ois de pr*t-i-por-X) m² dans Pancien achette, situ* a ouWards Saint-iaint-Michel, dans ssement i Paris. t.au printemps immobilier de ppel* ilot Hachette on dernier occu-m pr*voyait de r*-m² aui logements a un ensemble de >mmerces « orien-part significative e et les loisirs ».

La tension retombe a Marseille

Un nouvel appel dojfres sera land en avril 2000 pour le marchć des bibliothfyues municipales.

A Marseille. muniapalitć et libraires sont dtcules a travailler ensemble.

MARSEILLE

Mardi 5 octobre. Uassociation Ljbraires a Marseille. deux elues et un repr*sentant de la Drąc. ouvraient de concert la confe-rence de presse de presentation de -Lirę en fete*. l'n *v*nement symbolique : il sigmfiait qu'un terrain d’entente avait et* trou-ve enire la municipalite et les li-braires. a propos du conflit qui les opposait depuis le mois de mai concernant Pattribution des marches des BM pour trois ans. estim*s entre 2.1 MF et 4.8 MF. au grossisie parisien SFL et. dans une moindre partie, a Bi-Wioteca a Umoges (I).

Artides. courriers aux *lus, conf*rence de presse et surtout menace « de remettre en cause la participation active et b*n*-voie des libraires a Porgamsation de diff*rentes manifestations (Lirę en f*te, pru du Lnrre jeu-nesse. animations littćraires a roflfke de la culture...) •: les libraires avaient imm*diatement refuse de votr filer sans mot dire un march* de plusieurs millions df francs,« i une p*riode ou la librairie i Marseille vit une crise sans pr*c*dent ». Les r*-sultats aux animations de« Lirę en f*te • que Passociation orga-nise depuis 1995 ont *t* un des arguments en leur faveur; de 3000 visiteurs la premiere an-n*e, on est pass* a 15000 en 1997 puis 25000 en 1998.35000 visiteurs sont attendus cette an-n*e avec un budget stable a 190000 F. Ce n’*tait donc pas un hasard si Yvane Eymieu, adjoin-te au maire charg*e de la culture, ouvrait la r*union en annon-ęant qu’un avenant au contrat signe avec la SFL prenait acte de

son rachat par la Fnac en mai dernier (2).« Sous ne pouvions d*noncer imm*diatement le contrat car les bibiiotheques se-raient rest*es plusieurs mois sans *tre approvisionn*es *, ei-p4ique celle-ci. Mais elle pr*ci-sait que ce contrat ne serait pas reconduit au-deli du 15 arril 2000, et qu’un nouvel appel d’offres serait donc lanc*, latrt Mlaai #t aoltt 4łuii Cene conf*rence de presse *tait aussi Poccasion de pr*senter le nouveau pr*sident de Libraires i Marseille, Ren* Caprioli, direc-teur de la librairie Maupetit depuis sa reprise par Actes Sud, qui succ*de i Marc Bescond (Les chemins de mer), en poste pendant cinq ans. Pour Ren* Caprioli, le d*nouement est du «i la remise en cause du syst*me du mieux-disant et du moins-di-sant ». II y a quelques semaines, le maire de Marseille, Jean-Paul Gaudin.attirait lattention sur la contrainte des municipalit*s i at-tribuer les marches aux«moins-disants »,cons*quence directe, d’apr*s lui, de la loi Sapin rebti-vr aui appełs (foffres et aux mar-ch*s pubłics:« Les entreprises *crasent les prix au maiimum pour obtemr le ma/ch*. R*sułtat, nous en arrivons i ce que les em-ploy*s trouvcnt qu ils travaillent trop et dans de mauvaises condi-tions. • Yvane Eymieu reconnalt: « Une r*union avec les libraires et le service juridique de la mai-he a permis que nous nous ex-pliquions sur les termes et leur interpr*tation. |e me suis enga-g*e i ce que dor*navant Pon tra-vaille dans ce sens sur le cahier des charges et que soit pr*cis*-ment pris en compte la qualit* des semces. A charge ensu.te aux libraires de r*pondre i Pappel d’offres.» Ren* Caprioli esp*re aussi que«les libraires seront avertis suffisamment tbt de son ouverture, ce qui n’avait pas *t* le cas pr*cedemment •. Et l’*lue d’indiquer« avoir demand* a une de ses collaboratrices de pr*-parer un texte legislatif sur Pap-plictition du prix unique du livre aux marches publics qui sera soutenu par un parlcmentaire •.

Libraires et municipalite płan-chent desormais sur un autre dossier, purement local: Porga-msation en Tan 2000 d’un grand salon du livre. Si Yvane Eymieu eon firmę avoir mis ses services sur b conception d'un proiet de « F*te du livre •. en debors de • Lirę en f*te •. et qui se ferait • en annonce de l’ouverture de la BMVR prevue pour 2001 •. les libraires ne peuvent sempecher d’y voir une mamfestation concurrente avec leur propre projet de salon du lrvre. • Je suis tout a fan pr*te a discuter avec eui. pr*cise Pelue. nous pouvons travailler ensemble. d’autant qu'il y a d*ja plusieurs manifestations litteraires dans b region, a Toulon, a Gardanne puis Mar* tigues... •

A ckicia ton ttlot t Les libraires, via cette lots Libraires du Sud. association qui regroupe des librairies de b r*gion PACA, ont d*ores et dlji cr** une association baptis*e o Au comptoir de railleurs ».du nomdeces« ren-contres du livre en M*diterra-n*f • qu ils veulent mettre sur pied dans b rite phoceenne. Pour Thierry Fabre, concepteur des Rencontres d’Averro*s, qui pr*-side Passociation et pilote le projet, «ces rencontres auront une dimension nationale et interna-tionale. De fait, nous devons les mettre en place avec Pensemble des institutions.mairie.mmiste-re de la Culture. conseil regional et conseil generał». Une question est donc de nouveau posee: les libraires et la municipalite par-viendront-ils a s’entendrr sur cette manifestation dont le contenu devrait *tre rev*l* a la fin doc-tobre.

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(1)    Votr LH JJ5 Ju JO 4 99.p. 6

(2)    Vt>*r LH JJ9 Ju.V.5 99.p 6

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