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p. ex,, elle n'etait pas tres forte en 1931, mais tres distincte en 1932 , ce qui peut-etre etait en rapport avec la secheresse et les chaleurs exceptionnelles de cet ete.

A partir de mi-juin, sur les plages plus larges commence a se developper 1’eupsammon, avec ,,1'horizon vert” et les espe-ces qui s'y rattachent: Lecane clara, Cephalodella gracilis et Ce-phalodella compacta. Cette zonę de la plagę, s’y distingue nette-ment pendant les mois estivaux et joue un role moins important a 1’automne, Vers la moitie de septembre, ainsi que durant la premiere moitie d’octobre, les Rotiferes psammiques montrent un second maximum. De nouveau les especes suivantes apparais-sent en un plus grand nombre d'individus: Cephalodella auricu-lata, Lepadella patella, Monosłyla psammophila, Elosa spinifera et Lecane levistyla. Les especes: Wierzeiskiella sabulosa, W. velox et Bryceella tenella, peu nombreuses jusqu'a present, atteignent pour la premiere fois un developpement plus considerable. En-fin, en octobre apparaissent les especes automnales: Cephalodella ventripes (pour la seconde fois), C. łachyphora, C. remanei et Wigrella depressa. En meme temps apparaissent les males d'un grand nombre d’especes.

En commenęant de mi-octobre, nous pouvons observer une disparition graduelle du psammon. Les especes:    Monosłyla

psammophila, Elosa spinifera et Lecane leuisłyla perissent lente-

generalement

ment, l’une apres 1’autre,

apres avoir produit des

males. Vers la fin du mois perissent a leur tour Wierzejskiella sabulosa, W. velox et Bryceella tenella. La fin d’octobre coincide generalement avec la fin de la vie du psammon. Ce fait est sans doute influence par une suitę de facteurs, comme p. ex. la baisse de la temperaturę, la crue automnale (fig. 1, p, 173) et en meme temps une grandę augmentation de la force des vents (tab. 2, p. 175). Ces deux derniers facteurs causent de plus en plus souvent une inondation des plages entieres. Les gelees nocturnes, frequentes en automne, exercent une action meurtriere, II est vrai, que le psammon peut supporter une nuit, dont la temperaturę baisse au-dessous de 0', mais une

s

de glace, c’est-a-dire

dc plusieurs nuits pareilles le tue indubitablement, ce qui peut arriver parfois meme avant la fin d’octobre (1931). Dans la suitę, jusqu'a ce que le lac se couvre en novembre et decembre, les plages sont depourvues de Roti-