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morale chrćtienne que doivents'adreser les espćrances de 1'arbitrage qui parsasubstitution i la voie des armes est la plus haute expression de la primautd du droit sur la force, et il a beaucoup aattendre de la puissance de cette morale qui, par ses persćvćrantes revendica-tions pour le respect de la libertd de 1’homme, vient d‘abolir l’esclavage que le gćnie dWristote avait cru etre óternel.

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NOTES FINALES.

NOTĘ A.

Dans lYrdition des mćmoires de Sully publiće a Londres en 1747 et annotće, on lit tome III, pagc 368, la notę suirantc:

« M. le duc de Sully d’aujourd’hui possede Toriginal d'une fort « belle lettre de Henry-le-Grand, qu on presumc avoir ćtć ćcrite a

*    la reine Elisabelb; quoique cette reine ne soil nommće, ni dans « le corps de la lettre ni dans la suscription qui porte ces mots:

<    A celle qui merite vn los immortel. Les termcs dans lesquels « Henry y parle de ccriain projet politique, qu’il appelle la plus

<    eicellente et rare entreprise que crealure sut atoir. premeditee t en sa pensee, chose plus celesie qu'huma\ne ; les louanges qu’il « donnę h ce discours si bien lie, si rempli de demonstrations de

*    ce qui serait necessaire pour le gouternement des empires et « monarchies...) k ces conceptions et rćsolutions, dont on ne doit « attendre que des issues tres-rerr.arguables dhonneur et de gloire: « Tout cela ne peut se rapporter qu‘a la personne d’Elisabeth, ni

*    tomber que sur le grand dessein dont il csl question ici; et sur « lequel la reine d’Angleterre venait apparemment de commencer « k s’ouvrir a Henry, par lettres. Celle-ci est datee de Paris, du « quinzi*-me jour dejuillet, mais sans datę d’annće. —Lettres de « Henry-le-Grand. *