Durant les trois annees consacrees a la redaction de cel ouvrage, conseils, aide et encouragements ont iU prodigućs k Fauteur, $oit par des personnes privćes, soil par les directeurs et le personnel de diverses institutions. Dans Fimpossibilite d’en dresser la listę compl&te, il dćsire ce pendant acquitter une dette de reconnaissance particuUere envers The Regents of the University of Califomia, qui lui ont genereusement accorde le titre dfassocie de recherches, attache a la George Williams Hooper Foundation, Medical Center, San Francisco. Le Directeur de cette institution, le Dr K. F. Meyer, ainsi que le Dr B. Eddie, lui ont non seulement assur<§ les conditions favorables k la prćparation du texte, mais Font entoure dłćgards et d'encouragements. En matiere administrative, le Professeur H. G. Johnstone, Dean of Studen ts in the Medical Center, lui a ete d*un grand seeours. Meme fort de tous ces appuis, Fauteur nfaurait pu mener son oeuvre a chef sans les subvention$ g^nireuses de la Division of Research Grants and Fellowships of the National Institutes of Health, US Department of Health, Education, and Welfare; de la Foundation for Microbiology, Rutgers University, New Brunswick, N. J., USA et enfin de TOrganisation mondiale de la Sante.
La responsabiliti assumee par 1’auteur a ćtć altógće par la collaboration de deux collegues, experts en matiere de cholera: le Df Satya Swaroop, qui non seulement est une autorite en statistiąues módicales, mais connait parfaitement la situation cróće dans rinde par le cholera, et qui a bien voulu se charger en grandę partie du chapitre traitant de la frequence actuelle de la maladie. Le second est le DT William Burrows, qui a acoepte la lourde tache de discuter les questions relatives a Fimmunologie du cholera, auxquelles $es propres travaux ont apportć maints ćclaircissements. Le Df Jean Gallut, de lTnstitut Pasteur de Paris, qui a assurć la traduction de l'ouvrage en franęais, k la demande de FOrganisation mondiale de la Sante, s*est acquis aussi une dette de reconnaissance en communiquant a Fauteur les resultats de ses recherches personnelles sur le cholera.
La ville de San Francisco, fort £loignee des lieux ob sivit le cholera, peut paraitre k premtóre vue peu propice k Pćlaboration d'un tel ouvrage. Or, ii n*en est rien. La riche bibltotheąue du Medical Center, ainsi que les trćsors littóraires que possćde la Hooper Foundation, ont mis a disposition de Fauteur presque tous les documents qu’il desirait consulter. La Lane Library of Stanford University, San Francisco, lui a fourni ceux qui lui manquaient. II iient k remercier le personnel de ces institutions qui lui ont donnę acc£$ aux fiches et se sont ingenies a lui faciliter la tache. Dans les quelques occasions ou il a fait appel a d*autres sources, il a trouve le meilleur accueil auprds de la bibliotheąue de FOrganisation mondiale de la Santi, k Gen£ve et de la National Library of Medicine (autrefois Surgeon GeneraFs Library) k Washington, D.C.
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