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Dans le cas des pressions ślevćes, la formule de Kirch-hoff ne se prete plus a la rśduction des valeurs observóes de u. Meme si l’on admettait qu'elle s’applique a l’air comprimó, il ne serait pas possible d’óvaluer la valeur numśrique de la constante , puisque les coefficients de la viscositś et de la conduetibilitó ne sont pas connus pour l’air comprimś.

Pour se former une idóe sur 1’infłuence du diametre d du tubę et de la frćquence n des vibrations sur la vitesse du son dans Fair comprimó, il n’y avait pas d’autre moyen que de tran-cher la question d’une maniere expórimentale. Dans ce but Pau-teur a exćcutć six sóries d'expśriences, en variant le diametre d et la fróquence n la derniere ótait destinńe a la re-cherche de l’infłuence d’un abaissement de la tempórature. Voici les dótails:

Sórie I. Tempśrature = 0°. Tubę large d = 20,5 mm. Vibrations rapides n — 6260.

Sćrie II. R6p6tition de la prdcódente.

Sórie III. = 0°. Tubę large d = 20,7 mm. Vibrations lentes n = 3580.

Sórie IV. = 0°. Tubę ćtroit d — 8,6 mm. Vibrations rapides n = 6140.

Sórie V. — 0°. Tubę śtroit d = 8,6 m . Vibrations lentes n = 3580.

Sórie VI. = — 78°,5. Tubę large d = 20,5 mm. Vi-brations rapides n = 6170.

6. Dans le mśmoire qui sera insśrś dans les „Rozprawy 1’auteur donnę des renseignements dótaillńs sur les rśsultats obtenus. Pour donner une idóe de la concordance des obser-vations, deux diagrammes sont reproduits ici (fig. 2 et 3) re-prśsentant les sśries II et VI, sur lesquelles les valeurs obser-vdes de la longueur de demi-onde sont marquóes par des points. A Paide des courbes continues qui se rapprochent au-tant que possible aux points observćs, on a obtenu les rósul-tats dófinitifs qui suivent: