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dgć de sept ans, voulut aller a 1'orloge et, marcliant, enfonęa le plancher, tomba et s’ćcrasa la tśte et mou-rut, sur le pavć de Pćglise. »
LAbbe de Cbdleaurenaud mourut en Avril 1713, dit 1‘abbś Trćvaux, qui, cependant, lui fait succedcr, dós 1712, Charles-Marie Duplessis dArgentrć, qui mourut le 23 Noverabre 1712. II faut croire que PAbhć de Cbd-teaurenaud dćmissionna avantsa mort.carM.deCourcy nous signale bien, en 1712, un Abbe de Landćvennec du nom de Duplessis, Sr des I*andes, de la paroisse d’Argenlrć, portant : de gucules u 10 billettes d'or 4.3. 2 et i.
C'est peut-ćtre un peu & defaut d une direction serieuse dans un raonaslere, coraposó tout au plus de cinq ou six religieux, ou plutót a cause d*une ten-dance fdcbeu.se de la congrćgation elle-mćme, que nous voyons, d celte ćpoque óclater a Landćvennec une explosion d*un jansćnismele plusoutrć. I n regis-tre, conservć aux Arcbives dćpartcmentales, nous en donno un spćcimen dans la dćlibćratiou du 30 Octobre
1712.
Dom Yves Cochet, prieur, a reprćsentć quo lcs tron-bies dout 1'ćglise ćtail agitćc, au sujel de la constitu-tion Cnigcnitus, ue lui pcrinetlaienl plus de ditlćrer de s‘en entretenir avec ses confreres. Plusieurs des plus saints et plus savanls prelats sćtaienl adresses avec coniiance et respect au Saint-Pere pour le prier d'ex-pliquer lui-mdme sa bulle et de fixer le sens des pro-positions condamnćcs; qu'on avait eu, cependant, la douleur de ne recevoir que les rdponses les plus fdcheu-se«, etqu'il semblait qu'on n eutdu jamais attendre du Pere commuu des fldeles, que les menaces que la Cour de Home avait souvent rśitćrees venaient enfin d ćcla-ter, dans ies lettrcs publióes a Home, le S Septeiubrc dernier.....
Que Yappel, si utilemcut employe dansd aulres occa-sions, peutićtre moios importantes que celle-ci, ótait l'unique moyen ollert par le droit pour conserver sans altćration le dogine dc la foi... Des lannee derniere, plusieurs prćlats, plusieurs universitćs, Chapitres el cominunautes, inóme de notre congregation, y avaieut eu recours comme au moyen le plus lćgitime reconnu par les conciles de BAle et dc Constance.
Comme on le voil, cctte pauvre petilc communaute de Landćvennecćtait dćjżi móre pour soufTrir toutes les exigences et les humilialions de la Rćvolulion.-
1713. Jacques-Philippe he Varennbs nommć & labbayede LandiWennec, le 24 Decemhre 1713, prit possession en
1714. Originaire d’Auvergne, il portait dazur a 3 char-dons d'or. avec la devise : « Non est inorlale quod oplo ». 1746-1779. Jean-Rapliste-Marie Champion de Cicś, ne i Reuues le 10 F6vrier 172-'), age a peine de 21 ans, reęut en commende 1’abbaye de Landśvennec. Sa familie, originaire de Normandie, babilait BruU, paroisse de Rennes ; elle portait : ażur a 3 ćcussons (Targcnl char-
ges chacun dc 3 bandcs dc gucules, avec la devise : « Au plus vaillant le prix » (Courcy). L'Abbć Jean-Baptiste fut successivement vicaire gćnśral de Bourges, ćvóque de Troyes en 1738, puis cLAuxerre en 1761. Cesi en cette derniere qualitequ‘il donna sa dćmission de l'ab-baye de Landćvennec, en Seplembre 1779.
1780-1790. En 1780, par bulle du sixieme jour d'avant les ides de Novembre (8 Novembre), Pie V! nommait AbM dc I,andćvennec M*r Toussaint Conen de Saint-Loc, óvóque de (Juimper ; mais la nomination par le Roi avail prćcćdó et dfcs le3 Novemhre 1780, le Pfcre prieur de l abbaye, Jacques-Franęois Marie, ćcrivait au nou-vel Abbś : i.
« Je viens dapprendre volre nomination a celte ab*