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L/Educateur Prolźtabjen
Yrnelto nc voil, dit-il, qu’u trnvers lc prisine do son sysleme. Los cumarades qui dćsircnt fairc npipel a son oxpuriciu:c doi-venl dabord essayer d’appliqucr lc plus largcincnt possible, cl sans młlanye aucun. scs princlpcs et sa tcchiiinuc. lis pourronl alors sollleiter ulilement des conseils sup-plementalrcs.
11 faul, hien cotcndu, un outillugc uppro-prie, du co u ragę et de la pat lence. Mais les rćsultuls no larderont pas alors a couronner vos cfforls.
Yrochn HToccupe actuellcuienl a romaiilcr son prospeetus, h metlre nu point son <■ guide broehurc de quclqucs pages qui con-dcnscra scs notions thćoritjucs et prnthjucs et rendru «ervicc a nos cnuianidcK. Celto broehurc oonibłera les lacunea visiblcs <lc • Lullleer ('Energie - ct complćtera les notes que Uous donnons lei menie.
Prólorcr toujours, quand cela est pos-sible, la lianspiralion par nic eliarnl, supó-rleurc, i\ mon avls a cellc obtenuo par bain d’eau clmudc ou de vapeur. Nous prenons pour exeinple les phenonienes nalurels : si le lentps est clairement eitsolcille, In sueur vienl uoucoment ; on se mouille sam s’en apercevolr, Si le ieinps est au contrairc clinud et huinidc on ćtoulTe ct on se fatiguc da-enntagc.
— i.i! patient qui. da lis In caisse a siula-tion a la dć.sugreable impression d’elou1Tc-niont pcut rossentir un soulagciuont et mierne supporter la sudation si on nero la tele u l'ai-de d’dU ćvciitnil ou menie d’un vontllnleur electrl(|ue.
Ne pas oublier d’cntourcr le eon d'une serviette pour eviter la ebaleur qui, en s‘e-chnppanl de la boitc, congestionneralt la tćlc.
II arrlvc parfois que de.s personnes a faible rćnctlon (maigres. comalescents (res-scnlcnt, apres la sćancc complete, le froid cmabir leur corps parfois vfolommcnt. Ils dolvent se mettre eneorc nno fols en mou-vement. soit octivement, soit passleemcnt (avcc 1’aide d’unc nutre personne).
La courbature qne le novłce ressent dMinbiludc nu debul dc son npprcntissnge naturisto est la cóns<$quence obligatoirc et normnlc de la misę en trnin de son corps rigTdc et lourd.
En dchors de ccttc courbature, qul est na-turelle, on ressent parfois des douleurs, plus *spicinlemcnl dans la region des rcins. 11 -dagl.t lu d'un phenomene pathologique a rcctificr au plus tót. EUes provicnnenl de rhumnlfomes locaux contraclćs npres _ lc bain froid finał et dus ń une rćaction in-suffjsantc, soit dans la caisse, soit nu de-hors a ca U SC dun local insuffisainmcut chauffć.
— La friction ii 1'aide de gants prescntccut iuconvćnient de donuer naissance a dc pe-lits houtous, suit out dans la region du vcn-ire qui est plus spćcialement frietionuee..Aucun danger ! Ces boulous dlsparallrout au bont de quclqitcs jours sans laisser de tracę.
— Nous uttirons purticuliereinent 1'atten-tiou du lecteur sur le fait quc In sudation Yrocbo ne donnę son plein effet que si le patient parvicnt, par des frictiótis inces-santes, tani dans In caisse a sudation qu'a-vant la gymtiustiquc deuxieme serie, u de-crusser radicalcnicnt su peau. Des •• bou-lettcs sortiront de tous cótes et tomberont par terre a inesure que le sćchagu nugmen-te.
- Olmhitiidc, on s’essuic a fond nprćs un bain froid. On se passe ainsi de gynuiasti-que. Mais ce procede est bicn inferieur nu iiótro : nc pas sYssuyer mais se dessćeher par friction it mnin uue ou gautee de faęon a obtciiir un nettoyage profond. Ccttc moi-leur du corps permel d'appliquer uitc bomie gymuastiquc de souplessc et de rćcbauflagc.
HesuJlat : avec le premier procede, la ebaleur du corps ne rnric sensibleincnt pas; nvco nutre procede, on se scut vraiiuent chaud, ou óvite les frissons. et on se dćgugc des vćtcments.
lin cas de doute, d’ignorancc cl d’inex-perience sur le dosage, 1‘intensite, la dureu des (Lleorses operations, preferer los seances douces. eourlcs, alteniucs et repetees a cellcs qui. par leur importunee el leur duree, ris-quent de dceenlr fatigantes.
— La sudation seule ou le ebauffage du corps, ne dounont pu5 la solutfon du pro-blćmc. lis sont menie secondnires par rap-port au bain de tronc qui doił ćtre consi-dere commc le pivot des ageuts pliysiuiics curatifs. La sudation peut devenir superflue, le bain de tronc, jamais.
I)l*s (leplacemcnts m*ont ohligc1 ii tiimbaler mon aj»]>areil i youghourt. Or, j’ai reitssi a lairc mon\oughourl sans upparcil Iorsque je rełourne cliez mes parenls. Chez nous, coinme dans ioutc la region du Nord, il exisle une rtiisiniiTc dont le foyer esl place a*d centre. A droite et ji gauchc sonl deux fours. Sous ces fonrs yifs sonl deux sorles de fours ou la lempćralure est faible : on y met !es chiffons el le bois d’allttmage. II m*a suffi tle nc pas fairc le fen d’enfer d;i malin pour y reussir mon youghourt.
Ici, j*utilise mon apparci), mais cliacun peul s’en confectionner un. II suffit de possćder une houillotte