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sio-nification de fenigme, Cette femme ne menagea ni pleurs ni caresses pour engager son niari a lni di-yulgner son secret; enfin yaiiicn par ses importuuites, il lni decouyrit le sens de leuigme, et elie alla awssitóC ]e redire aux’trenfe jeunes liommes. Ceux ci yinrent eu-core le merae jour dire a Samson: „Qu’y a-t-il de plus doux que le miel, on de phis fort que Je lion?” Samson comprit sur le cliamp, que sa femme l’avait trąbi, aussi leur repoudit-il: „Si vons n’aviez pas laboureavecmagenisse, yous lwmriez pas devi,ue mon enigme.”Ęt entrant dans une grandę eolere, iis’eo alla a Ascoloo,y tua trente PJiilis/ins (Junt i! prit les v£jfemeu(s et les donna a ceux qui ayaient expliqne son enigmo. Irrite co utrę sa femme, il reyint danslamaison de son pere, et s’y arreta quelque temps.

Or la eolere de Samson sefant apaise il alla voir son epoiise; mais lorsqn’il voulut eiltrer danssacbam-bre, son pere fen empeelia endisant: „J’ai cni qne vons aviez de fayersion pour votre femme; aussi 1’ai-je don-nee a un de vos trente jeunes amis.” Samson iui re-pondit: „Desormais les Pbilistins naiiront plus sujet de se plaindre de moi, si je leur remis mai pour mai.” II alla donc prendre trois cents renards, les lia fun a 1’aotre par la queite, y attacba des flambeaux et laeba ces renards dans les cbamps des Pbilistins. Le*l'eu pre-riantau ble qni s’y trouyait, le devora, et se propageant eusuite dans les yignes et dans les plants d’obviers, il les coosuma tous. Les Pbilistins, en revanebe; bnlle-rent, la femme et Je beau-pere de Samson qui en fut si irrite, qu’il les nttaqua lni seul, et en lit un tel earnage qu’ils demeurereut font interdits de frayeur. Eusuite ils assemblerent un grand mombre de trou-pes, entrerent dans le pays de Juda, et demauderent


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