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Par ces miracles, Jesus Christ prouve au peuple chez qui il vit, la diyinite de sa mission; chacune de ses actions annonce un ćtre divin. La morale pure qu d en-seigne, le celeste amour pour Pburnanite qui esl dans toutes ses paroles; enfm chacuęp des paraboles de 1’Eyangile appreud a deyenir meiiJeur, et dispose a pa-raitreavec la securite d’une Anie tranquille au jugement dernier.

Jesus Christ eonnaft d’avance 1’lieure de sa mort qui doit procurer aux hommes la felicite eterneile. 11 sait, queles pretres juifs, animes d’un fanatisme ayeugle, lui teudent des pieges; qu’ils emploient la ruse pour se saisir de sa personne. Un de ses apótres, Judas-Ischa-rioth, seduit par 1’appat de For, trąbit le Sauyeur.

Aux approches de ce moment redoutable, Jesus iustitue le plus grand des sacremens: l’Eucharistie. En mfime temps il reproche a Judas le crime dont il va se souiller, et il ayertit Pierre qu'.il manquera a la fidelite qu’il lui a promise.

Comme homme, souffrant auxapproches d’un aneantis-sement proehain et inevitable, Jesus se retire dans un jardin pour y prier; des gouttes de sang tombent de son yisage,- un ange eonsolateur ranime ses forces; mais 1’heure de la mort estarriyee. Pendant la nuit une troupe homicide, conrjuite par Judas, s’approche; on emmene le Sauyeur chez le prince des pretres. Son disciple Pierre le suit d’uu air consterne. Trois fois on le reeońnait pour le compaguon de Jesus; trois fois il le nie. Pierre sort et pleure sa honteuse lachete.

Jesus est introduit au tribunal des pretres; on 1’inter-roge, on aposte de faux temuins. II se ditle fils deDieu; cet aveu fail son crime; il est souffletć, battu de ver-ges, couronne d epines par derision. Pilate gouyerneur