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v^a i Ile la i: Ajaccio et
Le bar Franęois (sur la "place cle la fontaine" a cóte d’un bron ze cle Nept w ' rras-sant des dragons) quand a lui esł ter . . ~ ' certa in Albeit Guiton. emi^ prenant mais ne parłam pas • ( tatives dimitation. dans un de l accem locaJ sont ( "
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Le bar appartient Dominiciue. me i semaine dans a :
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i 8h a 23h a 1'lnterieur et sur une *** Lrn garage attenant au baj* contient *rs. une borne d'arcade et un babv-pour ia plus grandę joie des petits et des un i plus grand s.
L'hótel: łe Christe Eleison est tenu par le frere de Marcel. Les deux etablissements sont en face l un de 1'autre et les deux cingles ne peuvent pas se supporter. 11 arrive que l un des deux sorte la carabine pour Lirer sur l autre ou qu’ils se mettent sur la gueule au milSeu de la route. L'hotel est plutót cher pour un servicc moyen et un restaurant d’une qualile tonie relative.
Lepicerie: Chez JM. pour Jean-Mathieu (le proprietaire. petit. brun. moralisateur et legerement escroc) est une petite epicerie dans laąuelle on peut acheter la meme chose que dans une epicerie classique plus la charcuterie gouteuse et chere du coin et du fromage a la coupe dont 1'odeur a fait la reputation. Tout y est sensiblement hors de prtx et les habitants n'v achetent que 1'indispensable ou 1'urgenl. prelerant aller au supermarcbć de Gliisonaccia pour les achats importants.
La pizzeria: Chez Guy. d apres le roni du proprietaire. Celusa mere, sa pedle amie et deux aulres personnes assurent le service. Guy est un jeune homme tres syrnpa-thique dune trentaine cTannees, expert en pizza et ouvert ce c[ui ne gache rien. Originaire du vijlage, il s'y est recemment reinstalle et reve deja d’en repartir. Lete. sa pizzeria ne desemplit pas grace a une cuisine irreprochablc. un senice sans lachę et au caractere debonnaire du patron qui en fait 1'ami des petits et des grands.
La boite de nuit: vous avez bien lu. il y ‘ ians ce trou perdu. Appartenant a y ir elle diffusc tous les soirs de
msi ue Dance inlx.ee par un mau-. Qi s qu ques jeunes du village s y •ie t . : remplissant menie pas la petite 1, c’esl plus souvent pour se souler ąu autre chose.
La mairie: le maire, Jean-Marie
Bernardini, caricature du mediterraneen mac ho (poils sur le torse, chemise ouverte, mai rasę, bagouses et gounnette en or) est age d une ąuaranlaine danne.es et est un populistę (divers droite) de la pire espece. Magouillant pour faire deelarer son rillage comme 'defavorise’. II est soutenu par une. population quc le nepo-tisme et le clientelisme ont lidelise.
L'ecoIe: accueille une quinzaine dc gantins du CP au CM2 dans la meme classe. A partir du college, les eleves sont obliges de prendre le car matin et soir pour aller etudler a Ghisonaccia.
La gendarmerie: une demi-douzaine de militaires y vivent replies sur eux-memes. lis prennent bien soin de ne pas deranger la population et daller payer leur tournee de temps en temps dans un des debits de boissons sus ciles.
Le camping: gratuit et en penie. avec des douches au jet d'eau froid. Quelques tou-rist.es y resident.
Le poste des pompiers: les jeunes autochtones s’y font un peu dargent en tant que pompiers volontaii*es. enfoures par quelques pros locaux dom un des seuls inclependantistes du viilage.
Ueglise: elie a son propre chapitre.
En cette periode estivale, le village est i d expatrićs corses qui reviennent passer ■=* a es a Mialinu avec toute leur petite .. 11 V a plusieurs categories d habitants dans le village.
Les vieux passent leur temps assis sur les bancs du v111age a faire des commentaires en Corso sur tous les petits jeunes qui passent a leur portee comme dans un Asterix a la eon. Les vieilles papotent entre elles tranąuiliement,