3855990564

3855990564



1945 !; Bismutho-Yatrcn, Solutions colloldales des . mćtaux lourds, des colorants divers, fuadine) ont donnć un rćsultat nćgatif dans les essais . de traitcment de la trichinose expórimentale du Cobaye et du Rat.

Yaron, nouvel!e substance utćrine;

Schaumann O. [Deul. med. Woch., 1913, 69, 813-814). — Le Varon est le chlorh. Ł du dimćthoxy-3.5 phćnyl-mćthylamino-ćtha-nol, substance de constitution analogu© ć ! celle de Padrćnaline, mais dans laąuelle les . deux OH cn 3 et 4 sont remplacćs par deux GH»0 en 3 et 5. Dans cette nouvelle sub-stance, on remarąue une dissociation des deux effets circulaloire et utćrin. En effet, tan dis qu’au point de vue de reffet utćrin, le Varon est aussi actif que Padrćnaline, 1'action circu-' latoire du Varon est bien plus faible que celle de Padrćnaline. De mćme que Padrćnaline, •• le Yaron est inactif sur Puterus du Cobaye (diffćrence avec les cxtraits hypophysaires et 1’histarninę). Mais il possćde une trćs forte activit6 vis-ć-vis de Putćrus de la Lapine. A la concenlration de 1 : 25, il provoque des contractions rythmiques pro-• longćes des segments d’utćrus in uitro. La dose minima active est de 0,02 mg/kg en ‘teinjection intra-veineuse.

L'emploi clinicpie de la aouvelle substance utćrine 8ynthótique, le Varon;

Stbinkamm E. et v. Bronk E. [Deul. med. Woch., 1943, 69, 814-815). — Par son action utćrine spćcifiąue, le Varon semble devoir remplacer les extraits hypophysaires, devenus rares depuis la guerre.

Ce qu’est la proquinine? Johannes-

sohn F. [Mdnch. med. Woch., 1943, 90,

635-836)- — La proquinine est un mćlange

des alcaloldes secondaires du auinąuina,

composć de 47,5 0/0 de cinchonine, de 47,5 0/0

de cinchonidinc et de 5 0/0 de quinidine.

V Doses minima mortclles: guinine 0,65 g

par kg pour la Souris, proąuinine 0,75 g/kg

(per os). Rat: 1,2 g/kg pour les deux produits.

. Lapin 0,4 et 0,35 g/kg. Canaris 0,215 et

0,15 g/kg, toujours par voie buccale. Doses

hypothcrmisantes 25 mg/kg pour la quinine

" et 38 mg pour la proquinine; action inhibi-

trice vis-ć-vis de la pepsine : concentration

active 1 : 250 pour les deux produits. Ces

rćsultats montrent que la proquinine peut

remplacer avantageusemcnt la ąuinine dans

, ses diffćrentes indications. ii: •

Nouvelles recherches sur les diffć-rences de la sensibilite des Grenouilles des espćces « temporaria » et' « escu-^‘lenta » vis-a-vis des substanceś cardio-toniąues; Stasiak A. (Arch. exp. Pałh. Pharm., 1943, 202, 409-411). — Rana esculenla et R. temporaria sont ćgalement sensibles vis-ć-vis des extraits alcooliques W* de Digitalis purpurea. A rexception du »Jf« glucoside des graines de Slrophanlhus rei Komhe, vis-&-vis duquel R. esculenla est le plus sensible que R. temporaria, celle-ci i manifeste vis-ć-vis de tous les autres gluco-sides cardiotoniqucs une sensibilitć bien plus grandę que R. esculenla.

.{15 Sur los antagonistes de l’action de la gM phlorhizine. I. et II; Pfeffer K. H. et gik Wetzel R. [Arch. exp. Path. Pharm., M 1943, 202, 395-403, 404-408). — Les auteurs #n’ont pu constater aucune action antago-t* aiste du blcu de mćthylćne, de la lactoflavine, jnfrfou de Pacide IactoHavine-phosphorique sur la glycosurie provoquće par la phlorhizine. La lactoflavine ne supprime pas non plus ^'action spćcifiąue de la phlorhizine sur le ■aftorocessus de phosphorylation du glycogćne, i£0iui est la cause principale du trouble produit ffrlans la rćabsorption du glucose dans les ; c -ubuli de 1’appareil rćnal.

P*

CHJMIE BIOLOGIQUE

Sur 1'action de la bufotaline sur la circulation chez les sujets normaux;

Busse H. et Struppler A. [Arch. exp. Palh. Pharm., 1943, 202, 369-381). — La bufotaline diminuc la rósistance pćri-phćriąue la circulation et augmente le dćbit cardiaque, tandis que le strophantoside augmente au contraire la rósistance pćri-phćriąue et diminue, aprćs une courte augmentation, lo dćbit cardiaque. On doit adrnettre cependant qu’ćtant donnć la parentć chimique entre la bufotaline et le strophantoside, 1’action de ces deux sub-stances sur les divers domaines de 1’appareil circulatoire se manifeste de la mćme manićrc. Mais la rćgion splanchnique rćagit aux agents pharmacologiques par une vasoconstriction, tandis que les vaisseaux pćriphćrigues (cutanćs) y rćagissent par la vasodilatation. Or, il arrivo que, pour la bufotaline, c’est l’action dilatatrice sur la rćgion pćriphórigue qui se manifeste avec le plus d’fntensitć, tandis que pour le strophantoside, c’est reffet vasoconstrictcur dans la rćgion splanchnique.

Augmentation de 1'action de la strychninę au moyen de la quinine; Gess-ner O. [Arch. exp. Path. Pharm., 1943, 202, 363-368). — La quinine renforce 1’action de la strychninę sur les larves de Salamandrę, la Grenouille ou la Souris. Chez les polkilo-thermes, le renforcement dc cctte action (convulsions) s’accentue avec la dose, tandis que chez les homćothermcs (Souris) cet effet de potentialisation (dirninution de la dose mortelle minima) s’afTaiblit avec la dose.

Traitement abrćgć de la med aria (cure de cinq jours); Hauer A. [Deul. med. Woch., 1943, 69, 713-717). — L’auteur signale les avantages du traitement abrćgó de la malaria (cure de cing jours) par Passo-ciation atćbrinc-plasmoqume.

Ćtudes psycho-pharmacologiqu.es sur 1'action des hormones sexueUes sur l’activit6 psychique; Ducker H. [Arch. exp. Path. Pharm., 1943, 202, 262-313). — Les hormones sexuełles mćles ou femelles augmentent l’activitć physiąue et psychique de 1’Homme. Cette action est durable chez les personnes d’age moyen, et elle est due ć 1’action favorable de ces hormones sur les troubles endocriniens.

Action des hormones sexuelles sur

le cceur; Krcetz Ch. et Wiebkrs W. [Milach, med. Woch., 1943, 90, 203-205). — L’cestradiol agit sur les malades atteints d’insuflisance cardiaąue en ralentissant le rythme du cceur et en modifiant profondć-ment le travail mćcanique du muscle cardiaąue. Cette action, trćs semblable ii celle des glucosides cardiotoniąues, n’a cependant aucune suitę thćrapcutiąue, & cause sans doute de l'absence de fixation de cette hormone sur le muscle du cceur.

Pćriston, nouveau produit pour remplacer le limiide sanguin; Hecht G. et Wbbsb H. [Munch. med. Woch., 1943, 90, 11-15).—Le pćriston, prćparć pour remplacer le sang dans les transfusions, est un hquide qui, ć cótć des sels physiologiąues, contient un collolde synthćtiąue (collidone). C’est un produit dc polymórisation composć de polyvinylpyrrolidone, de poids molćculaire moyen 25.000 et ayant une trćs forte afTlnitć pour l’eau. Injectće dans le sang, la collidone, par suitę de cette forte afhniić pour l*eau, y dćveloppe une certaine pression osmotigue, ne pćnćtre pas dans la membranę attemte par le choc histaminiąue ou la brGlure et rótablit rapidement la pression sanguine normale. Son cfTct se maintient pendant deux jours environ.

Rćsultats cliniques obtonus avoc le pćriston, la produit pour remplaoer le liquide sanguin; Klees E. [Munch. med. Woch., 1943, 90, 29-32). — Le pćriston est supćrieur & tous les produits de rempla-cement dans la transfusion sanęuinc. 11 agit & la manićre des analeptigues, ii exerce une action toniąue sur les vaisseaux et favorise óminemment la circulation capillaire. Les mćdicaments cardiotoniąues peuvent ćtre, sans inconvćnient, administrćs en mćme temps que le pćriston. La dose est de 150-150 cm*, mais elle peut Ćtrc augmentće au besoin jusqu’ć 500-700 cm*.

Action des N-mćthylbarbiturates sur la diurdse aąueuse; Van Keerbergen G. [Arch. int. Pharmacodyn., 1943, 69. 1-11). — L/injection intra-veineuse de narconumal, de nembutal ou d’6vipan, provoque la dimi-nution nette de la diuróse consćcutive i 1’administration d’eau. Cct effet antidiuró-tique se produit trćs rapidement aprćs 1’administration de ces hypnotiąues. Dans le cas du narconumal, il cesse au moment du rćveil de Panimal; dans celui du nembutal 1’ćlimination rćnale ne reprend que dans de faibles proportions pendant la pćriode post-narcotiąue, tandis que 1’inhibition de la diurćse aąueuse provoquće par l’ćpivan persiste pendant une pćrioac prolongće aprćs le rćveil complet de Panimal. Le fait de renforcer la diurćse aąueuse par Pinjec-tion simultanće de glucose & 20 0/0 ne modffie pas notablement Paction antidiurćtiąue de ces divers acides barbituriąues.

Ćtudes comparatives sur Tacćtyl-choline et le bromure de bromocholine;

(Ettel H. [Arch. exp. Path. Pharm., 1943, 202, 314-325). — L’ćtude comparative de Pacćtylcholine et du bromure de bromocholine chez PHomme et chez Panimal montre les avantagcs du sccond vis-ć-vis du premier. Le brornure de bromocholine est en effet actif per os, ne modiflc pas Pćlectrocardio-grarnme et possćde une activitć plus prolon-gćc. Ces deux substances augmentent la circulation cćrćbrale et rćnale; elles dilatent les artćres coronaires. Les doses toxiques chez le Chien sont 0,5 mg pour Pacćtylcholine et 25 mg pour le bromure de bromocholine (pour un Chien de 20 kg.).

Les effets pharmacologiąues de la protaminę appelće clupćine; Hkim F. [Arch. cxp. Path. Pharm., 1943, 202, 228-235). — La protaminę appelće clupćine, a Pćtat de sulfate, possćde, mćmc ó des concen-trations les plus faibles, les mćmes proprićtćs colloido-osmotiąue et adsorbante que les autres protides ć poids molćculaires ćlevśs. Jusqu’ć la dose de 20 y, le sulfate de clupćine renforce Pactivitć de 1’oreillette du cceur de Grenouille hypodyname. Au-dessus de 50 y, ccttc substance provoque Parrćt systoliąue du raflme organe. Aux doses de 0,5-5 y, le sulfate do clupćine renforce Paction de Pacćtylcholine. Aux concentrations plus fortes, il diminue cette activitć. Lo sulfate de clupćine se flxe a quelques protides ć

f»oids molćculaires ćlevćs, dont il modific ainsi a solubilitć, le degrć de dispersion et 1'adsorbabilitć.

• Ćtude comparative de 1'action de la sulfadiazine et du sulfathiazol sur Staphylococcus aureus; Rammelkamp C. et Iewell M. [Proc. Soc. exp. Biot., N. Y., 1941, 48, 27-33). — Ajoutće in uitro ou administrće per os, la sulfadiazine augmente le pouvoir bactćricide du sang normal. Le sulfathiazol agit sur Staphylococcus aureus, encore plus fortement que la sulfadiazine.

* Action retardante et action bactó-



Wyszukiwarka

Podobne podstrony:
1945 CHIMIE BIOLOGIQUE 27 :j poste des Poulea; Weineck E. (Kolloid Z., -T 1943, 103, 159-161). — Le
page0300 290 S. DICKSTEIŃ. 33. a)b)Solution rifjourmse des accroissements pour h*s canons trigonorne
LA SOLUTION 161 des clercs (Quod. VI, a. 12) — et la meme doctrine est reprise pour le cas particuli
296 CHOLŚRA dans des conditions diverses: celles de Balteano & Łupu (1914), par exemple, qui ava
• Oo o o oDes propres Solutions depuis plus de 75 ans. Par 1 armee, des hótels et cliniques a
8 CHIMIE ORGANIQUE 1945 C.H. C.H, CH laissant la solution plusieurs jours 5 1 air, on obtient en
18 CIIIMIE BIOLOGIQUE 1945 Nutrii., 1941, 21, 35-44). — L’ivoire des molaires des Rats adultes conti
20 CHIMIE BIOLOGIQUE 1945 colncide avec une baisse considćrable des acides gras non phosphatidiąues,
28 CHIMIE BIOLOGIQUE 1945 colonies des staphylocoąues ainsi que Tapparition de Hićmolyse. Les
•z 1945 CH1MIE ANALYTIQUE 33 CHIMIE ANALYTIQUE Ćtude critiąue des rćactifs des ca-thions; Gillis J.
2 CHIMIE OHGANigUE 1945 CHIMIE ORGANIQUE G£NeRALIT£S *    Role des rayons «
1945 CHIM1E ORGANigUE 3 L’ćtude du rapport C/H des produits formćs par action des vapeurs de napbtal
B ACTĆ R lOLOGUB 117 essais d*une solution d*eau de mer artificielle concentree, mais ils ont aussi
330 CHOLERA » On met dans des tubes des ąuantites de 0,5 ml des Solutions k ćprouver, et on ąjoute k
page0304 294 S. DICKSTR1N. 4.    a) Solution generale du probleme des probabilites
page0352 342 S. DICKSTEIN. 105.    Lucas F. La Solution du probleme des temperatures
des probldmes (par exemple, en menaęant de crćer une organisation rivale). A la solution desąuels&nb
P RIX 2 0 19Table des matieres Rapportglobal cTanalyse de Solutions digitales d’evaluation et/o
397TABLE DES AUTEURS DE 1941 Herman s Hauser (E.) et Hirshon (8.). Compor-tement des sol. colloldale

więcej podobnych podstron