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278 ŚTUDE SUR LE MALECTE BERB^RE DES ZA1AN ET AlT SGOUGOU

13° zil, etre bon, beau, bien, et sonsynonymeruila, bien moins employe;

a (lii, etre bien fait, eąuilibre, convenable; sUih, etre joli, beau ; hlu, etre bon, beau, bien,

les trois derniers d’origine arabe, rendent notre adverbe « bien » ou nosadjectifs « beau, bon, remarąuable », etc.

ihilern iś cl llulęnn izill, m. a m. « il a fait un travail qui est bien », il a bien travaille.

c;lląn rirseit iliamen aililim, m. ii m. « il y a chez eux des tentes etant bien confectionnees », ils ont de belles tentes.

hlu ne s’emploie qu’& la voix negative :

ais a ul ihli, ce cheval n’est pas bon *.

La formę affirmative est courante chez les Alt Sfiid, A. Atta, Ait Bouzid.

14° .v lamii (arabe lawil« temperament »), doucement, lenteinent.

13° s htzzla (lazzla, course); s tafsi (tufsi, legerete), ft ej fluid (Ar. (erka, jet, course), rapidement, vite.

16° C laitai (expression arabe), publiquement, sans se cacher, a voix liaute.

17° mscqqem (de 1'arabe), fortement, serieusement; comme il faut.

18⁰ ahełfi, sec, sans accompagnement.

10° hezsiidi, nu.

1. Mercier, Le Chaouui de FAur&s, p. 43, flernitire ligne du eonie. .