I/Educateur Prolźtarien 355
II cxisle, en pedagogie. deux grand s. dcux iminenses co u ran ts. Ils ne da leni point d’aujounPhui : c*est un probierni* de lous les lemps mais c|ui necjuierl loule son acuile 5 mesure que des masses de plus en plus considć-rnbles sonl appelees a parliciper aPinslruction sinon a Peducation. Les flido-rie ens gćniaux qtii jalonnenl Pćvolution pedngOgiqiic, les inspecteurs aux diyers degres et. a leur suile. helas ! les politieicns interesses senihlent ne voir que ’e cole senlinieiPal de Pćducation, les rapporls ideaux qui en font, ii esl vrai. toiil 5 la fois, les buts et les nioyens. cette sorte de spiriUialitć conlagcuse qui rayonnc des limes genćrcuscs et forlcs.
Mais. loin parfois de ces soimnets, les huinblcs educateurs, plncćs sans cessc devant les diffićullćs malerielles de cette misę en ceuvre pedagogique, npprcnncnt a juger aussi Ja vanile des mots et des exhortations, Pimpiris-sance des formules et des eonsidćralions generalcs, pour resłer prosa'ique-menl face a face ąvec la technique diffjcile ot coinplcxe de la conduite de la classe. Consideralion apparemmenl mineure a lnquelle des generations (Pinstituteurs ont timidemenl donnę eorps inalgre Palisence presąue totale de consePs et cPappuis, technifjue dont nous prelendons, nous, faire le ferment actif de la pedagogie nouvclle prolćtarienne.
Selpn (juels principes orgnniser le fcrarail et la discipline scolaire ; com-menl rendre prodactives les diverses disciplines : par quels nioyens rendre la classe plus vivanle el plus liumaine ? Qucslions c| ni han tent sans cesse Pespril* des praticiens et auxquels il iPcsl repondu souyent que par des formules generales. par de grands mots, des principes souverains — qu’ils soient anciens ou noavcaux don? nous sentons, nous, toute la vanite : J/ćducnlion est un apostolat... Aimez vos enfanls. soycz hons et dou\ avec