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mcnt comnuinautaire ct ont fait observer que les pays africains ont intćrćt a mettrc en commun rexperience qu*ils ont acquisc par la diffusion dc documentation, l’ćchangc dc pcrsonnel, les voyagcs ct lcs cyclcs d'ćtude. Le secrćtariat dc la Commission a etc instammcnt invitć a intcrvcnir activcmcnt pour lanccr ct coordonncr ces activitćs cn collaboration ćtroitc avec lcs institutions spćcialisćcs interessćes ct d*autres organisations inter-gouvcmcmcntalcs ou non gouvemementalcs.

127.    On a insistć sur la necessite dc former des agents du dćveloppcment communautaire ct d’organiser des stages d*orientation pour d'autres catćgories dc per-sonnel, commc des administrateurs, des agents sanitaires et des spćcialistes dc la vulgarisation agricole: lc secre-tariat a ćtć prić dc preter son concours pour amćliorer lcs mćthodcs ct lcs programmes dc formation.

128.    On a notę qu*il y avait licu d’entreprendre des recherchcs qui facilitcnt les mesures a prendrc ct per-mettent dc donner des avis sur lcs mcillcurs moyens de fairc participcr les collcctivites a l’exćcution des programmes dc dćveloppement et de transformer les formes traditionnelles dc 1’action coIlective cn formes modemes de coopćration. On a rccommande rćvaluation des programmes dc dćveloppement communautaire comme moyen dc dćlermincr lcs mćlhodes qui permettent dc foumir cfficacement des directivcs uliles aux differents pays dłAfriquc.

129.    On a constatć quc lc dćveloppement communau-tairc ćtait actucllcmcnt limite aux rćgions rurales; ccpen-dant, plusicurs dćlćgations ont signale que des projets pilotes avaicnt ćtć exćcutćs avcc succes dans des rćgions urbaines ct ils ont rccommande d'appliquer, a titre d*expćricncc, lcs methodes ct lcs tcchniques du develop-pement communautaire aux rćgions urbaines et semi-urbaines.

130.    Lc rcprćscntant dc TOMS a souligne quc la santć publiquc est un ćlćment cssenticl du dćvcloppcmcnt com-munautairc et que 1’OMS et le F1SH coopćrent etroite-ment avcc 1'Organisation des Nations Unieś pour pro-mouvoir des programmes dc dćveloppement communau-tairc. C*est pourquoi lcs ćquipcs d’evaluation qui seront crććcs devraicnt comprcndrc des reprćsentants dc toutes les organisations interessćes.

131.    Plusicurs reprćscntants ont accueilli avec satisfac-tion la rccommandation du cycle d’ćtude sur le develop-pement communautaire tendant a la crćation d’un comitć du dćveloppcment communautaire qui scrait un organc subsidiairc de la Commission et $c sont dćclarćs prćts a appuyer cette rccommandation.

132.    Lc Royaume-Uni et lc Ghana ont presentć un projet dc rćsolution quc la Commission a adopte a 1’unanimitć [rćsolution 15 (II) ; voir 3® partie du prćscnt rapport). Sclon ce texte. la Commission approuve le rapport du cycle d*ćtude sur le dćveloppement communautaire, invitc les membres et les membres associćs a examincr d'une manićre approfondie les recommanda-tions dc ce cycle d*etude ct approuve les propositions relatives a la coopćration rćgionale et k l'assistance inter-nationale. A la suitę d’une suggestion de la Libye, acceptćc par les auteurs du projet de rćsolution. un para-graphe a ćtć ajoutć dans lequel le Secrćtaire exćcutif est prić dc procćder a une enquete sur les programmes dc dćveloppcment communautaire en Afrique.

Moyens pour la formation d’Africajns dans les

DOMAINES ŚCONOMIQUE ET STAT1STIQUE, AINSI QUE

DANS LES DOMAINES CONNEXES

(point 12 de Pordre du jour)

133.    La Commission a exprime sa satisfaction du rapport de 1*UNESCO sur les moyens dont on dispose pour la formation d’Africains dans les domaines econo-mique et statistiquc, ainsi que dans des domaines conncxes (E/CN. 14/35). Bicn que le rapport ne porte pas sur tous les pays et territoires africains, il constitue unc base utile pour rexamen des problćmes de formation, auxquels toutes les dćlćgations ont attribuć une haute autoritć.

134.    La Commission a estime que la formation et lcs rechcrches qu’ellc entrainc devraient ctre lićes aux mesures prises pour rćsoudre les problćmes quc posc le dćveloppement ćconomique et social de lvAfrique et pour amćliorcr la situation en Afrique. C’cst pourquoi la formation dcvrait, dans la mesure du possible. słcffec-tuer en Afrique ct lcs programmes devraient ćtre conęus de manierę & contribuer a la solution de ces problćmes. A cel ćgard, on a envisagć la possibilitć de recourir a rcxpćrience de Tlndc ct d’autres pays qui ont eu a fairc face ć des problćmes analogues ct de reeruter du per-sonncl enseignant dans ces pays.

135.    On a notć le besoin de trois types bien detcrminćs de formation: la formation des cadres intermćdiaircs, la formation de diplómćs en cours d’emploi et les stages dc perfectionncment dcstinćs ii amener les fonctionnaires qui ont bćnćficić d’unc formation de base au niveau rcquis par les nćcessitćs actuelles. Certaincs dćlćgations ont signale quc la formation en cours d*emploi ćtait souvcnt dilhcilc k organiser, ćtant donnę que les cadres supćricurs sont le plus souvent appeles a se charger d’autres tAches importantes.

136.    La Commission a adoptć a Tunanimite dcux projets de rćsolution, l’un prćsentć par TEthiopie. le Ghana, la Guinće ct le Liberia, 1’autre par le Ghana, la Guinće, lc Libćria ct la Libyc. Dans le premier de ces textes [rćsolution 16(11); voir 3* partie du prćsent rapport], la Commission exprimc Tespoir de voir se pour-suivre les stages dc formation en cours d’emploi au Sićgc dc POrganisation des Nations Unieś et pric le Secrćtaire exćcutif d‘organiser, en consultation avec les sccretaires executifs des autres commissions economiques regionales, la formation cn cours d'emploi d'economistes et de statis-ticicns africains au sein de leurs secretariats, qui. a-t-on notę, ont deja acquis des connaissances et unc expćricnce considerablcs dans diffćrents domaines economiques. sociaux et statistiques. En outre, le Secrćtaire executif est prić de faire rapport a la Commission lors de sa troisieme session, sur 1’institution d'une formation en cours d'emploi au sićge de la Commission k Addis-Abćba.

137.    Dans le deuxićme texte [rćsolution 17 (II); voir 3e partie du prćscnt rapport], la Commission prie le Secrćtaire exćcutif de consulter les universites, lcs institu-

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