50 ET U DE SUR I.E DtAI.ECTE REUBKRE DES /..VIAN ET Alf SGOUGOU
Ex. : aniellul et meme amlal, blanc. are:z'ifet meme ahaf, long. ainezziąn et aniziąn, petit.
La simplification estsouvent complete :
uska (Z\v. azekka), demain.
<irtąl (pour arelłal, pour an-llllul), pręt (subst.). anidukul (pour unieddakid), ami.
Lu ul ul (Ouargla bnnellul), femme. akśill (Dades akesśut), bois.
({/kas, pour afekkas, ceinture. nta, pour nella (cf. Mzab), lui.
V V
Z. S. tam(’f/(/unn; 13. Hs. Lmujunn, sorte de pain.
Le redoublement n’est dans ce cas rendu sensible que par la modification subie par la consonne interessee, si cette consonne etait a 1’origine un son derive :
las kurt et non taskurt, pour tusekkurt, perdrix. uf kas et non nfkas, pour afckkas, ceinture. ar tal et non ar (lal, pour arcddal, pręt.
V v V
ablih et non abilih, pour abcjlih, tache, plaąue.
1’areillement 1’assimilation du <7 de uli, particule du futur, par le n prefixe de conjugaison. iro personne du pluriel, devrait donner un : c est ce qui a lieu en zouaoua (cf. R. Basset, Manuel de Lun (jur kahyle, p. 27, et Boulifa, Ijne 'premierę annrc de kubyle, p. 61); mais en zaian cette consonne double a ete simplifiee :
oska u nurui imussęii, demain nous emporterons la charrue.
Un autre cas de simplification des geminees se releve dans la formation de la formę d’habitude de la formę factitive ; celle-ci doit prefixer l, qui s’assirnile au s formatif, de maniere a doubler cette derniere consonne ; mais ce redoublement est completement neglige par les Bou Hsousen :
la isdlai irllęn, il prend du ble du siło.
V
la isilill ibettan ęnnes, il lave ses vetements.
51. — Vocalisation des consonnes.
Nous avons vu que certaines voyelles pouvaient accidentelle-mentdevenir semi-yoyelles, et meme se transformer en consonnes;